2 avril 2007
Saint Pinard
Pendant la guerre, les Poilus avaient droit à du vin pour se remonter le moral et tenir. Ce qui permettait aussi de régler le problème de surproduction.
La ration journalière était d'un demi-litre par jour. Parfois coupé d'eau-de-vie avant les attaques.
De l'entre-deux guerres aux années soixante, les vins doux naturels, qui titrent entre 15 et 18°, furent l'objet d'un véritable engouement, du fait notamment de leur vertus médicinales supposées. Ces apéritifs comme le Byrrh - créé dans les Pyrénées Orientales par les frères Violet - intégraient diverses herbes et plantes dans leur composition, notamment des écorces de quinquina.
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